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Documents  KINNE Marion | enregistrements trouvés : 3

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- 36 p.

Lorsque nous voulons effectuer un mouvement précis, nous allons d’abord évaluer notre environnement avant de décider de la trajectoire à suivre. Par exemple, si nous prenons un exercice de pointage d’une cible, le cerveau va analyser la distance entre notre main et la cible, et le trajet le plus efficace à emprunter. Il devra également choisir les articulations et les muscles qu’il va utiliser, en même temps ou non et lesquelles il va choisir de bloquer. Ceci prend un temps relativement long, supérieur à 100 ms.
En revanche, lorsque la cible change de position et que nous devons effectuer alors un changement de trajectoire, appelé correction motrice, les premières activations musculaires se font en moins de 100 ms. Il semblerait donc que nous utilisons des boucles corticales de bas niveau. Ceci a déjà fait l’objet de plusieurs études, qui ont permis de prouver l’efficacité et la rapidité de ces corrections motrices. Celles-ci ont toujours été effectuées dans des conditions optimales, où l’individu effectue des mouvements complexes de pointage, sur des cibles qui bougent.
D’autre part, les émotions, dont la définition a beaucoup varié au cours des siècles, ont été largement étudiées, notamment au niveau de leur impact physiologique sur le corps humain, de l’équilibre et de la marche.
Aussi, nous nous sommes intéressés à savoir si, selon l’état émotionnel de l’individu, l’efficacité à effectuer et corriger son mouvement pouvait s’en trouver modifier. Pour cela, nous avons choisi des images de la banque IAPS. Ces images ont été analysées et ensuite classées selon leur valence par Lang, Bradley & Cuthbert (1990) : plaisant, déplaisant ou neutre. La valence est définie par Charland (2005) comme une « qualité positive ou négative associée à un état mental ou physique particulier, ou à leur combinaison particulière ».
Ceci nous a amené à se poser la problématique suivante : les émotions vont-elles impacter les délais de réaction d’un mouvement de pointage complexe non perturbés et modifier les corrections motrices, lorsque la localisation de la cible est perturbée de manière imprévue au cours d’un mouvement, que ce soit dans leurs caractéristiques et leur rapidité ?
Pour y répondre, des sujets ont effectué une tâche de pointage, perturbée et non perturbée, après avoir visualisé des images neutres, positives et négatives.
Dans le cadre du mémoire de master 1, nous avons analysé les résultats des sujets féminins, concernant le temps de réaction, le temps de mouvement et l’activité EMG du tibialis antérieur sur le pointage de la cible près.
Nous n’avons pas retrouvé d’impact concernant le temps de réaction, sans doute du à la pression temporelle imposée. En revanche, les résultats ont été significatifs concernant le temps de mouvement, étant moins important face à une image positive, puis neutre puis négative. De plus, nous avons également trouvé un tibialis antérieur se contractant dès le début de la tâche, de manière moins forte face à des images négatives.
Ceci montre l’impact des émotions sur une tâche de pointage non perturbée. Par la suite, il sera intéressant d’analyser les résultats de la tâche de pointage perturbée, afin de voir si nous retrouvons des résultats semblables ou non.
Lorsque nous voulons effectuer un mouvement précis, nous allons d’abord évaluer notre environnement avant de décider de la trajectoire à suivre. Par exemple, si nous prenons un exercice de pointage d’une cible, le cerveau va analyser la distance entre notre main et la cible, et le trajet le plus efficace à emprunter. Il devra également choisir les articulations et les muscles qu’il va utiliser, en même temps ou non et lesquelles il va choisir de ...

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Ce mémoire de recherche se porte sur l'identification des zones encéphaliques altérées chezdes patients atteints de sclérose latérale amyotrophique (SLA). Une étude biomécaniquepréliminaire a montré une altération des ajustements posturaux anticipateurs lors del'initiation de la marche. Le but de cette étude est de relier ces résultats à une neuro-imagerie(IRMf) et d'étudier la préparation du mouvement lors de dorsiflexions bilatérales de cheville,effectuées soit en auto-initié, soit en déclenché. Le groupe contrôle a montré des zonesd'activation différentes suivant le mode de déclenchement du mouvement, avec un cerveletplus actif en déclenché tandis que l'aire motrice supplémentaire, l'aire motrice primaire, lecortex pariétal sont activés de manière plus importante en auto-initié. Ces différences sontmoins marquées chez les patients SLA, d'autant plus avec instabilité posturale : les résultatsau niveau de l'hémisphère droit montrent une possible altération de ces structuresencéphaliques, expliquant une préparation du mouvement moins efficace, notamment encondition auto-initiée.Mots clés : préparation du mouvement, IRMf, auto-initié, déclenché, Sclérose latéraleamyotrophique (SLA)"
Ce mémoire de recherche se porte sur l'identification des zones encéphaliques altérées chezdes patients atteints de sclérose latérale amyotrophique (SLA). Une étude biomécaniquepréliminaire a montré une altération des ajustements posturaux anticipateurs lors del'initiation de la marche. Le but de cette étude est de relier ces résultats à une neuro-imagerie(IRMf) et d'étudier la préparation du mouvement lors de dorsiflexions bilatérales de ...

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Objectif : Les dysménorrhées, qu'elles soient primaires ou secondaires, représentent le principal défi gynécologique influençant la qualité de vie des jeunes femmes au quotidien. L'objectif de cette étude est d'évaluer l'impact global d'un traitement ostéopathique sur le bien-être des jeunes femmes atteintes de dysménorrhée et de leurs symptômes.

Matériels et méthode : Trois patientes présentant des dysménorrhées ont été incluses pour participer à cette étude menée à la clinique ostéopathique de l'ESO. Nous avons étudié l'intensité de la douleur ainsi que les changements dans sa prise en charge et dans la qualité de vie en se servant du score clinique de Sultan et une échelle de cotation des dysfonctions ostéopathiques. Chaque patiente a été évaluée lors d'au moins trois consultations, mais ce nombre pouvait varier en fonction des besoins individuels et des dysfonctions identifiées.

Résultats : Nous observons une réduction de l'intensité de la douleur selon le Journal de douleur et une diminution des symptômes évalués par le score clinique de Sultan chez toutes les patientes. Des variations sont notées dans l'évaluation des dysfonctions ostéopathiques.

Conclusion : Malgré le nombre restreint de participantes, empêchant des conclusions, il semble que le traitement ostéopathique global ait un impact positif sur la qualité de vie des patientes.
Mots clés: Dysménorrhées, Ostéopathie, Symptomes, Intensité de la douleur
Objectif : Les dysménorrhées, qu'elles soient primaires ou secondaires, représentent le principal défi gynécologique influençant la qualité de vie des jeunes femmes au quotidien. L'objectif de cette étude est d'évaluer l'impact global d'un traitement ostéopathique sur le bien-être des jeunes femmes atteintes de dysménorrhée et de leurs symptômes.

Matériels et méthode : Trois patientes présentant des dysménorrhées ont été incluses pour ...

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