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A partir d'une pré-étude et de nos connaissances anatomiques et biomécaniques, nous avons élaboré un protocole afin d'objectiver l'hypothèse qu'une technique ostéopathique pourrait augmenter le vitesse de tir au handball.
Nous utilisons dans cette étude une technique directe, appelée DOG, pour corriger les dysfonctions cinétiques de la charnière dorso-lombaire chez les handballeurs.
La vérification du gain de vitesse se fait à l'aide d'un radar.
L'étude est réalisée sur une population de 60 handballeurs effectuant 10 tirs en appui, " bras cassé ", avant et après la technique.
Ils sont répartis de manière aléatoire en deux groupes (témoin et ostéo), de 30 sujets.
L'analyse des résultats nous montre une augmentation de la vitesse dans le groupe ostéo, alors que dans le groupe témoin, aucune modification n'est remarquée.
Nous avons remarqué quelques lacunes à cette étude, notamment le manque de temps, et il serait intéressant de savoir si cette technique est fiable sur une population plus importante et de savoir si le gain de vitesse est toujours identique deux ou trois semaines après avoir effectué la technique.
C'est ce qui serait intéressant de développer dans de futures études.

Mots clés : ostéopathie - handball - charnière dorso-lombaire - vitesse de tir - D12-L1 - tir en appui.

L'objectif de notre étude était d'évaluer l'efficacité de l'approche ostéopathique des dysménorrhées fonctionnelles. L'étude a été réalisée au sein de la consultation clinique de notre école. Les patientes devaient avoir des dysménorrhées fonctionnelles à chaque cycle, être âgées de 18 à 50 ans, être nulligestes et être sous contraceptif oral. Les patientes ayant une infection génitale, portant un stérilet étaient exclues de l'étude. Les 70 patientes éligibles ont été réparties de façon aléatoire en deux groupes : un groupe traité et un groupe témoin non traité. Nous avons comparé l'évolution de l'intensité de la douleur pelvienne et des signes associés lors du cycle suivant. Les critères de jugement étaient l'EVA, un score clinique de Sultan et nous avons également demandé aux patientes leur ressenti. Les résultats de cette étude randomisée en simple aveugle ont été très hautement significatif statistiquement au profit du groupe traité en fonction des trois critères. En effet, le p (EVA)=0,0000, le p (score de Sultan)=0,0012 et 69% des patientes traitées ont ressenti une nette amélioration contre 3% pour le groupe témoin. On peut donc conclure à l'efficacité d'une approche ostéopathique des dysménorrhées fonctionnelles à court terme.

L'objectif de notre étude était d'évaluer l'efficacité d'un traitement ostéopathique pour les sujets souffrant de gonarthrose et de comparer une approche articulaire et une approche fasciale.
Soixante trois patients présentant les signes cliniques et radiologiques d'une gonarthrose ont été répartis aléatoirement en trois groupes.
Les résultats de l'étude portaient sur le score algo fonctionnel de Lequesne avant traitement et cinq jours après. Les différences ne sont pas significatives (p=0,41) cependant, l'analyse graphique des résultats montre une amélioration du score pour les sujets traités. Il s'agit certainement ici d'un manque de patients. C'est pourquoi cette étude pourrait servir de pré-étude. Il serait intéressant de reconduire ce protocole avec un plus grand nombre de sujets.

Notre étude avait pour objectif de vérifier l'efficacité de deux techniques structurelles sur l'articulation fémoro-tibiale. 90 sujets ont été répartis en trois groupes comparables par randomisation. L'expérimentation a été réalisée avec deux investigateurs, un qui testait les dysfonctions de rotation de l'articulation fémoro-tibiale, l'autre qui traitait la dysfonction relevée par une technique myotensive ou une techniques d'impulsion type thrust, les sujets du troisième groupe étaient témoins non traités.
L'étude a nécessité deux séances espacées de huit jours afin de relever la présence de dysfonctions immédiatement après techniques et le retour de dysfonction lors de la seconde séance.
L'analyse statistique des données a été effectuée et a montré que les résultats sont statistiquement significatifs.

Nous avons comparé un traitement allopathique et un traitement ostéopathique sur des sujets souffrant de la maladie de Raynaud idiopathique. L'étude a porté sur 30 patients majeurs, souffrant tous de la maladie de Raynaud idiopathique. Il s'agissait d'une étude comparative randomisée.L'étude présentait 2 groupes comparables : un groupe a reçu un traitement allopathique pendant un mois, constitué d'un principe actif (Praxilène® ou Mono-Tildiem®) selon l'importance de la symptomatologie ; un.groupe a reçu un traitement ostéopathique constitué d'un Traitement Ostéopathique Général en première séance puis d'une compression du quatrième ventricule en deuxième séance. Les critères de jugement étaient le ressenti de la douleur par le patient, mesuré par une échelle visuelle analogique et les conséquences sensorielles et émotionnelles de la pathologie objectivées par le Questionnaire de Saint-Antoine. Les résultats ont confirmé que l'ostéopathie a un impact positif sur la maladie de Raynaud idiopathique. Notre étude comparative a démontré en outre que l'allopathie présente également un résultat positif, cependant dans une moindre mesure. Cette étude nous a permis de conforter l'hypothèse que l'ostéopathie a sa place au travers de l'utilisation de techniques fonctionnelles dans la prise en charge de la maladie de Raynaud idiopathique. Il serait intéressant de poursuivre cette étude sur une population élargie, plus gravement atteinte et sur un plus long terme.

L'objectif de notre étude était d'évaluer l'efficacité d'un traitement ostéopathique pour les sujets souffrant de gonarthrose et de comparer une approche articulaire et une approche fasciale. 63 Patients présentant les signes cliniques et radiologiques d'une gonarthrose ont été répartis aléatoirement en 3 groupes. Les résultats de l'étude portaient sur le score algo fonctionnel de Lequesne avant traitement et 5 jours après. Les différences ne sont pas significatives (p=0,4) cependant, l'analyse graphique des résultats montre une amélioration du score pour les sujets traités. Il s'agit certainement ici d'un manque de patients, c'est pourquoi cette étude pourrait servir de pré-étude. Il serait intéressant de reconduire ce protocole avec un plus grand nombre de sujets.

La technique d'équilibration fasciale de l'œil décrite par Peyralade et Caporossi a été évaluée expérimentalement sur les troubles oculaires. Son efficacité a été mesurée par une diminution du nombre de séances d'orthoptie nécessaire pour ces dysfonctions. Le traitement comportait la technique d'équilibration fasciale ainsi qu'un traitement de l'orbite osseuse. Nous avons cherché à connaître l'influence de la seule technique d'équilibration fasciale du globe oculaire sur les dysfonctions oculomotrices, en dehors de tout traitement crânien. Notre éTUde comprenait soixante sujets répartis en deux groupes traité et témoin. Nous avons mis en évidence une amélioration statistiquement significative pour les sujets du groupe traité.
Nous pouvons en déduire une action efficace sur l'équilibration des tensions fasciales et musculaire pour les vergences de l'œil gauche, ainsi que pour des dysfonctions de tonicités musculaire pour les deux yeux.

L'insuffisance veineuse chronique est une pathologie sous-estimée malgré sa fréquence élevée dans les pays industrialisés. On s'intéresse davantage aux signes objectifs de la maladie tels que les varices ou les ulcères qu'à ses retentissements sur la vie quotidienne des malades. Pourtant, ce sont les symptômes comme la douleur, les jambes lourdes, les oedèmes ou les paresthésies qui handicapent les patients. L'objectif de cette étude était de vérifier si une technique dite " de mobilité de la racine du mésentère ", par ses liens anatomiques étroits avec le système veineux abdominal et le système veineux des membres inférieurs, peut favoriser le retour veineux et donc avoir une influence sur la qualité de vie des patients atteints d'insuffisance veineuse chronique. L'étude a été réalisée auprès de 40 patients souffrant de la maladie veineuse répartis aléatoirement en deux groupes. 20 patients ont été traités par la technique. 20 patients étaient témoins non traités. Un auto questionnaire de qualité de vie, le CIVIQ, a été rempli par les patients avant l'expérimentation et une semaine après afin d'objectiver les effets de la technique pendant cette période. Les résultats sont cliniquement et statistiquement significatifs pour le groupe traité, dont la qualité de vie a été améliorée dans la semaine suivant la technique.

L'acrobatie aérienne est une des disciplines du cirque qui occasionne le plus de douleurs et de blessures. Cette étude ostéopathique avait pour objectif d'améliorer la force musculaire et l'endurance au niveau des avants bras de ces artistes et d'augmenter leur vitesse de récupération à l'aide du Traitement Ostéopathique Général (TOG). Il s'agit d'une étude comparative randomisée réalisée en simple aveugle sur 55 artistes professionnels, utilisant comme critère de jugement principal l'évolution de la force de contraction musculaire des avant-bras et de la fréquence cardiaque. Les résultats ne mettent pas en évidence de variations statistiquement significatives, mais des tendances concernant l'amélioration de la vitesse de récupération (43 %) et de la force musculaire (16 %) chez l'homme ont été observées.
Dans notre échantillon, 57 % des artistes sont dans un état de surmenage ou de surentraînement et 48 % des sujets traités ont perçu une amélioration de leur ressenti lors de leur numéro tandis que les témoins n'ont noté aucune évolution. Ainsi, nous pensons que l'ostéopathie a sa place dans une prise en charge pluridisciplinaire de ces artistes de haut niveau.

Nous avons recruté 40 patients souffrant de déglutition atypique que nous avons réparti par randomisation en deux groupes : un groupe (n=20) traité par des techniques ostéopathiques sur la colonne cervicale, la région de l'os hyoïde, de la loge viscérale du cou et de la langue , et un groupe témoin (n=20) recevant des techniques simulées. Le critère de jugement était l'amélioration des tests orthodontiques endo- et exobuccaux, réalisés par un investigateur ne connaissant pas le groupe d'appartenance des sujets. 75% des patients du groupe ostéopathie ont été améliorés contre 15% dans le groupe témoin. La différence est très hautement significative (Chi-2, p=0,00014).

William Garner Sutherland, par l'observation d'un crâne désarticulé, élabora une théorie sur la possibilité de mouvement entre les différentes pièces osseuses crâniennes. Il passa sa vie à développer cette idée et fonder son concept, qui est enseigné encore aujourd'hui. Le mécanisme dit " respiratoire primaire " est dénigré par les professions de santé et même certains ostéopathes. De nombreuses expériences ont été réalisées afin de vérifier ou réfuter cette théorie, mais l'intégrité, les moyens fournis et la probité de ces recherches varient énormément d'une étude à l'autre. Ce travail de recherche regroupe une explication de la théorie de Sutherland, ainsi qu'un grand nombre d'expérimentations et leur analyse critique. La conclusion que l'on peut en tirer est qu'un mouvement semblerait exister au niveau du crâne, mais que l'origine de ce mouvement reste encore inconnue. La théorie de Sutherland semblerait de plus en plus obsolète mais reste la seule enseignée.

Notre travail est une traduction du texte The Teaching Of Osteopathic Skill de Louisa Burns. Ce texte date de Décembre 1946. Louisa Burns y expose son approche de l'enseignement de l'habileté palpatoire au vu de son expérience et de ses nombreuses années de recherche. Louisa Burns propose des moyens d'optimiser l'intégration sensitive et motrice du toucher, et de développer l'habileté palpatoire dans le cursus de l'enseignement et dans le cadre de la clinique ostéopathique. Dans une première partie nous présentons l'auteur, ensuite nous commentons le texte pour finalement proposer différents abords de l'enseignement de la palpation.

La plupart des ouvrages ostéopathiques décrivent des techniques en avertissant sur les éventuels effets secondaires sans jamais parler réellement d'efficacité. Nous avons décidé de réaliser une étude comparative entre la technique de type thrust et ta technique de type fasciale sur le sacrum. 120 sujets ont été recrutés et répartis en quatre groupes : un groupe témoin, un groupe recevant une technique de type thrust, un groupe recevant une technique de type fasciale et un groupe recevant l'association des deux techniques.
L'application de techniques de type thrust semble avoir une efficacité à court terme, cette efficacité diminue à 7 jours, alors que les résultats de la technique de type fasciale perdurent. L'application associée des deux techniques, semble se servir des bienfaits de chacune d'entre elles, à savoir une efficacité significative immédiate et à 7 jours.

Plusieurs études ont montré que la technique globale de hanche pouvait avoir des effets positifs : elle augmenterait la mobilité de l'articulation coxo-fémorale et elle agirait aussi sur le complexe lombo-pelvi-fémoro-tibial par l'insertion des groupes musculaires ayant une action sur cette articulation. De plus, elle améliorerait la foulée de l'athlète. La technique globale de hanche a été mise au point par Lehougre, qui enseignait la technique d'harmonisation globale de la hanche d'Aemmer. Pendant son enseignement il s'est rendu compte de la difficulté à laquelle ses étudiants étaient confrontés pour exécuter cette technique. Il a décidé de la modifier en lui apportant une nouvelle composante afin d'obtenir une plus grande précision et d'avoir un positionnement moins contraignant, pour le patient et pour le praticien. À l'heure actuelle, aucune étude n'a démontré que la technique Lehougre pouvait améliorer l'amplitude d'abduction de l'articulation de la hanche dans des proportions plus importantes que la technique Aemmer. Nous sommes partis de l'hypothèse selon laquelle la technique globale de hanche était plus efficace, et ses effets plus durables, que la technique Aemmer. Nous avons recruté 30 athlètes, répartis en deux groupes par randomisation, l'un traité avec la technique Lehougre, l'autre avec la technique Aemmer. Les mesures d'amplitudes ont été réalisées après les prises de clichés radiologiques à trois moments différents : avant la technique, 30 minutes et 15 jours après. La technique globale de hanche et la technique Aemmer ont donné des résultats significatifs à court terme (avec un avantage pour la technique Lehougre). Les effets de la technique Lehougre semblent plus durables.

L'objectif de notre étude était d'objectiver l'action d'une équilibration du plancher pelvien sur le rachis dorso-lombaire en considérant qu'elle avait une action sur la cinétique de la ceinture pelvienne. Nous avons recruté 60 sujets volontaires répartis en deux groupes : un groupe traité de 30 sujets et un groupe placebo de 30 sujets. Un deuxième examinateur a mesuré avant et après la technique ostéopathique du plancher pelvien les amplitudes de flexion et d'inclinaison du rachis dorso-lombaire avec des inclinomètres, et la mobilité et le positionnement du bassin.
Nous avons pu objectiver une modification du groupe traité (p = 0.018), mais nous ne pouvons pas dire quelles amplitudes ont été modifiées car les différences des moyennes avant et après la technique était non significatives (respectivement 0.99 pour la flexion et 0.104 pour l'inclinaison). Pour le groupe traité, nous avons observé un gain d'inclinaison pour les hommes et les femmes, un gain de flexion pour les hommes et une perte de flexion pour les femmes.

Quelles sont les caractéristiques de nos patients ? Qu'attendent-ils de l'ostéopathie ? Connaissent-ils vraiment cette discipline ? Pour répondre à ces questions, nous avons réalisé une enquête au sein de cabinets d'ostéopathes d'Ile de France. Nous avons réalisé des Analyses des Correspondances Multiples sur les données de 534 questionnaires, ainsi que la classification hiérarchique. Notre étude révèle que la répartition hommes/femmes n'est pas équilibrée (51,4% de femmes). La moyenne d'âge des patients est de 43,6 ans. Les méthodes utilisées montrent quatre profils de patients :
- les préventifs : personnes en bonne santé, aucun traitement, sportifs, plus d'hommes ;
- les fidèles : patients consultent depuis au moins 10 ans, plus de femmes ;
- les fragiles : personnes d'au moins 50 ans, consultent souvent et depuis longtemps ;
- les novices : patients qui découvrent l'ostéopathie, sans antécédent et traitement. Les personnes qui connaissent le plus l'ostéopathie sont les femmes et les sportifs. L'ostéopathie, depuis 18 ans, est en évolution permanente et sa patientèle l'est également.

La rhinite chronique est une pathologie qui perturbe la vie de plus de 20% de la population française. L'ostéopathie, grâce à un traitement adapté, peut apporter une réponse satisfaisante aux patients touchés par cette pathologie, mais par quel moyen ? Nous avons, dans cette étude, voulu analyser l'amélioration de la qualité de vie que pouvait apporter la technique de stimulation du ganglion ptérygo-palatin chez les rhiniteux chroniques.
Nous avons procédé à une étude clinique randomisée chez 51 sujets atteints de rhinites chroniques ; un groupe traité par la technique et un groupe pour lequel nous avons simulé la technique. L'objectivation des résultats se faisait par un questionnaire de qualité de vie, rempti par les sujets avant la technique, 24 heures après, une semaine après et deux semaines après. L'observation de l'évolution des courbes de qualité de vie montre que les sujets traités ont une amélioration nettement plus importante que les témoins, les bénéfices s'estompant une à deux semaines plus tard. Les différences n'étaient pas significatives, peut-être du fait de la faiblesse des effectifs.

Cette étude porte sur la technique dite "d'équilibration de la motilité intrinsèque des poumons" et la mesure de la capacité respiratoire. Le but est d'observer si l'application de cette technique a un effet bénéfique sur le volume expiratoire maximal par seconde. L'objectivation a été réalisée grâce à l'utilisation d'un spiromètre permettant de mesurer le volume expiratoire maximum par seconde avant et après le traitement.
Nous avons recruté une population de 60 personnes "saines", âgées de 18 à 55 ans. Les sujets ont été répartis en deux groupes : traité et témoin, en différenciant les sexes. Nous n'avons pas observé de variation significative statistiquement chez les sujets "sains". Cependant, nous avons observé que sur les sujets asthmatiques, cette technique augmentait de manière significative le volume respiratoire maximal par seconde, préférentiellement au bout de 7 jours.

But de l'étude : II s'agissait d'évaluer l'influence de la technique des lames SRGVP sur le positionnement osseux du bassin et sa répercussion sur l'équilibre postural du corps.
Matériel et méthodes : L'étude a porté sur 120 sujets âgés de 18 à 30 ans (60 hommes et 60 femmes). Il s'agissait d'une étude randomisée. L'étude présentait 4 groupes comparables : deux groupes, hommes témoins et femmes témoins, où aucune technique n'a été réalisée, et deux groupes, hommes traités et femmes traités, où une technique sur les lames SRGVP a été effectuée. Les critères de jugement étaient l'évaluation du positionnement osseux du bassin et une analyse stabilométrique en deux mesures, une avant et une juste après technique pour les quatre groupes.
Résultats : Les résultats ont montrés que la technique des lames SRGVP avait une forte influence sur le bassin en le rééquilibrant dans 78% des cas. Par contre la technique des lames SRGVP n'a pas d'influence significative sur l'équilibre postural du corps.
Conclusion : Cette étude nous a permis de montrer l'importance des lames SRGVP sur le positionnement osseux du bassin. Il serait intéressant de poursuivre l'étude à J+l mois afin de voir les modifications sur le bassin et sur l'équilibre postural.